Noël est le meilleur moment pour une consommation excessive. En 2018, le Conseil québécois du commerce de détail estimait que les dépenses de Noël de chaque famille québécoise étaient de 739 $. Parmi eux, 436 $ ont été utilisés pour acheter des cadeaux. Donc, à l’approche du temps des fêtes, j’ai eu envie de vous partager 10 astuces pour réduire votre empreinte écologique et réduire les coûts pour votre portefeuille.
#1– Louez, empruntez, échangez votre costume ou ceux des enfants. Ceux-ci grandissent tellement rapidement que celui de cette année ne fera probablement pas l’an prochain et pour l’originalité, il en faudra un différent. Si vous voulez acheter un costume, regardez sur les sites d’objets d'occasion tels que les friperies de votre ville, MarketPlace, Kijiji. Vous trouverez un costume à bon prix.
Est-ce parce que la croyance populaire nous fait croire que le « seconde main » rime avec « bon marché » et ne s’adresse qu'aux moins nantis de la population? C’est un mythe.
L’économie et les objets seconde main sont pour tous! Dans les faits, si tout le monde, quel que ce soit son revenu ou sa situation financière, achetait un peu plus d’objets d’occasion, la planète et l’environnement se porteraient bien mieux, car ceci permet d’éviter la consommation et la « culture du jetable ».
Avec la fin des classes qui arrive, nous allons, en tant que parents, nous retrouver avec tous les effets scolaires des enfants en bon et en moins bon état. Quoi faire avec tout ça? Dans le présent article, je vous donnerai quelques trucs pour bien recycler, réutiliser et acheter le strict minimum pour la prochaine année.
Le printemps est arrivé! Le soleil devient plus chaud, les journées s’allongent, nous sortons de plus en plus dehors. Qui dit printemps, dit aussi « Ménage du printemps ». Quelle est la signification du ménage de printemps? La signification est de nettoyer chez soi en profondeur[i]. Quelle est l’origine de cette expression? L’expression française qui se base sur la métaphore du printemps, signe de renouveau naturel pour décrire l’opération de nettoyage en profondeur. En effet après l’hiver, les fleurs sortent et le soleil est plus chaud ce qui donne envie de tout nettoyer et mettre en avant les vêtements frais
La sécurité alimentaire a longtemps fait partie de mes volets d’activités favoris en tant qu’intervenante communautaire; travailler à rendre accessible de la nourriture diversifiée et abordable et ce, dans une perceptive de saine alimentation pour tous a, du plus loin que je me souvienne, suscité en moi un grand intérêt. Je parle bien évidemment ici de la proximité aux supermarchés et autres points de vente connus et approuvés. D’où la réticence première de plusieurs à tenter ce genre d’expérience qu’est le déchétarisme ; « glanage alimentaire ou trésordure1 est le fait de fouiller dans les poubelles des magasins de grande distribution et des restaurants pour en extraire des aliments encore consommables par le déchétarien ou glaneur. »
L’idée de la Brocante me plaisait bien car cela venait rejoindre une de mes valeurs soit le respect de l’environnement. Combien de fois que l’on entend dire que nous vivons dans une société de consommation et que de nos jours, tout est jetable! Par contre, certaines choses sont facilement réparables, il ne s’agit que de prendre le temps de voir comment les choses fonctionnent et un peu de patience. Pourquoi jeter quelque chose qui est encore bon! Comme la mission première de la Brocante à My est de donner une seconde vie à des items parfaitement utilisables, je trouve que cela cadre très bien avec cette valeur.
La question suscite des discussions. Dans mon cas, la réponse est oui et non, je m’explique. Oui, je serais capable d’accepter un cadeau provenant du seconde main, mais non, je ne pourrais pas en offrir à tous mes proches. Certains sont plus regardants sur le cadeau obtenu et d’autres parce que ce n’est pas dans leurs valeurs. De plus, offrir ou donner un cadeau de seconde main est bon pour l’impact environnemental collectif et pour nos portefeuilles.
Je crois que le bonheur professionnel est différent pour chaque personne ou chaque génération. Lorsque j’en parle avec mes parents, fin de la génération des « Baby-Boomers » ou mes beaux-parents, qui sont plus au début dans la génération des « Baby-Boomers », pour eux le bonheur professionnel doit être un job avec de bonnes conditions salariales, un fonds de pension pour la retraite et y passer toute notre vie professionnelle pour y gravir les échelons avec le temps. Pour mes amis, génération « Y », le plus important est le bien-être au travail et la conciliation travail-famille. Pour la génération de mon fils, « Z », le bonheur est la reconnaissance et la possibilité d’avancement rapidement.
Aujourd’hui, je vous parle de mes gestes concrets pour la protection de l’environnement. Je ne veux pas endoctriner personne et encore moins, penser que je suis meilleure que les autres. Je crois que chaque petit geste compte, peu importe leur ampleur. Je ne suis pas végétalienne et je ne pense pas le devenir. Par contre, j’essaie dans la mesure du possible et selon mon budget, d’acheter local ou au moins canadien. J’essaie de faire des actions pour rendre mon quotidien plus écoresponsable comme avoir des thermostats programmables, utiliser mes sacs recyclables pour les fruits et légumes ainsi que pour l’épicerie, n’envoyer aucun sac à usage unique dans la boîte à lunch de fiston (ou la mienne et celle de mon mari lorsque nous travaillons à l’extérieur en temps pré-covid), acheter en vrac, …
Dans le premier article du blog, je me suis présentée. Je continuerai donc sur cette lancée en abordant le sujet de mes passions, pour que vous, chers membres de la page La brocante à My, puissiez apprendre à mieux me connaître. Voici donc mon top 3 de mes passions :
1e position : La Lecture
2e position : Les jeux de mots tels que Scrabble, Boogle, Scategories
3e position : Les encans
Aujourd'hui, je vous parlerai donc de mon numéro 1, la lecture.
Pour le premier article du Blog sur le site Web, je souhaite me présenter. Qui suis-je? Je suis un modèle Septembre 82. J’ai vécu avec mes parents et mon jeune frère dans une belle grande maison. Étions-nous riches? Aucune idée! Est-ce que j’ai manqué de quelque chose? À 14-16 ans, j’aurais probablement répondu « Oui ». Des vêtements à la mode. Maintenant, je réponds « Non ». Nous avions tout, même de l’usager